
D’abord journaliste pour des revues d’entreprise, elle se consacre désormais à l’écriture romanesque, dans laquelle elle dissèque des pans méconnus de l’Histoire. La vie tranchée (Hachette) s’intéresse à la censure postale durant la première Guerre mondiale.
L’ombre d’un homme (Pocket) est un livre poignant sur des «demi-juifs», non déportés, mais internés dans des camps à Paris. Les oiseaux de passage (Pocket) révèle le sort des enfants emprisonnés au XIXe siècle. Solidement documentés, ses romans mêlent réalité et fiction, et s’imposant comme des livres essentiels sur le devoir de mémoire.
Bénédicte des Mazery participera au Café Polar « Victimes et bourreaux »