
Professeure à l’École Supérieure d’Art d’Épinal, elle enseigne également au sein d’une association d’aide aux migrants. Militante, elle anime des ateliers d’écriture en prison et auprès de malades atteints d’Alzheimer. Ses romans pour la jeunesse jettent un regard profondément empathique sur les réalités sociales de notre monde. On retiendra La guerre de Catherine (L’École des loisirs), qui conte l’odyssée d’une petite fille qui doit oublier
son nom, sa vie d’avant quand il n’y avait pas la guerre et que les Juifs ne devaient pas se cacher. Elle emporte son Rolleiflex et, pour résister fait des photos… L’adaptation de ce roman en BD a été primée à Angoulême.